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Le franc ciné de Francine

Le franc ciné de Francine
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Le franc ciné de Francine
14 avril 2010

Du changement depuis le 23 mars...

Je commence à passer au dessus de tout.
Mon ex. époux je ne l’ai plus revu depuis le 4 de mars, jour du partage.

Je pensais dans mon fond interne …


- que ma maison m’aurait manqué, depuis que je ne peux plus y  mettre les pieds ! Et bien non, et ce malgré lorsque je vais chez mes parents, juste à côté.
- que mon village allait me manquer ! Et bien non, au contraire, je me plais beaucoup mieux ici en ville ou j’ai tout sous la main, j’ai beaucoup de voisins, je ne suis jamais seule, même les jours maussades, d’où plus de dépressions, comme quand je restais  dans ma rue déserte : seule depuis mes maladies.
- que mon mari après un moment, j’aurais voulu le revoir ! Et bien non, pas encore, il faut que je digère notre divorce, le mal qu’il m’a fait, les paroles blessantes qu’il m’a dites.

Et de merveilleuses nouvelles sont venues à moi  en ce mois d’ «  Avril  » :


- Mon frère ainé est  enfin venu me rendre visite avec sa compagne et ses enfants, c’était la semaine avant Pâques, venant de plus loin, Je leur avais préparé un bon repas. Une merveilleuse journée, fantastique, j’étais aux anges. C’est que je suis très famille moi. Ça, je crois que vous l’avez remarqué dans mes textes.
- La semaine suivante, celle de Pâques, la surprise !!
Mes parents sont venus comme à l’époque dîner « le jour de Pâques ».

« Jour pour moi de fête de renaissance ».

Mes enfants y étaient aussi, les liens familiaux se sont ressoudés.

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Splendide, que dirais-je de plus : MERVEILLEUX.

Depuis… je me sens … comment dire : autre, je revis, je renais.

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- J’arrive à refaire des projets   
- mes maladies m’encombrent moins.
- je reprends mon saxophone plus souvent
- j’ai même repris de la couture

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23 mars 2010

L'avoir quitté

Maman, ne sois pas fâchée ainsi tout le temps, accepte ma vie, accepte-moi telle que je le suis.

Ne m’en veux pas de l’avoir quitté, je ne voulais plus de ses mains sur mes hanches, je ne le voulais plus dans mon lit, nos routes se sont écartées. Je sais ,tu voulais que ma vie entière soit faite avec lui, et bien NON, je n’en pouvais plus de souffrir de son manque d’amour, de regard envers moi. Nous avons trop cachés nos disputes. C’est un tort, tu aurais mieux compris.
Si tu croyais que ma vie était faite avec ce garçon que chérissais, que tu connaissais depuis qu’il était petit… que rien ne serait venu nous séparés,  et bien non, c’est regrettable…
j’ai cassé ton rêve…votre rêve.
Laisse moi vivre, laisse moi ma vie, laisse moi être ce que je suis : Heureuse.
Pourquoi toujours cette haine !!
Un enfant, il faut le laisser voler de ses propres ailes ; et si ton préférer, s’est lui aussi envoler vers une nouvelle vie, n’oublie pas une chose : ta Fille c'est MOI.


Lorsque je vous invite dans ma demeure : venez.
Ce n’est plus la grande maison, celle où vous auriez aimé que je reste pour la vie, mais un appartement où je m’y sens bien, n’est ce pas là, le principal ?
Lorsque lui, vous invite dans la maison de sa nouvelle compagne : là, vous y allez ?

Je veux crier que je t’aime que je vous aime toi et papa, mais s’il vous plait venez chez moi me voir, et arrêtez de me faire pleurer, de me faire subir ce que j’ai cassé, je ne suis pas folle, je veux juste vivre. 

T’inquiète je suis bien, on s’aime
... D’Amour
NOUS.
Laissez moi connaître qu’est le mot Amour.
Et rien ne sert de crier. Essayez juste de comprendre et de vivre, arrêtez de vous lamenter.
Un jour vous partirez et si je n’avais pris ma vie en main, je ne sais ce que je serais devenue, lors de votre départ.

Je sais tu te souviens trop des fêtes, des barbecues que l’on organisait avec tous, de nos vacances aux bords de mer, où a chaque fois vous veniez passer une journée l’on buvait  sur la place de Blankenberge une bonne Sangria, les moules frites que l’on vous préparait pour le midi… c’était notre lieux de vacances favoris.
Tu sais, je vais encore au bord de mer, plus pareil qu’avant me diras-tu, mais tu sais, on s’amuse tout autant : la sangria existe toujours et les moules n’ont pas disparues.  

Vous aimiez beaucoup ce temps passer, mais il faut voir maintenant le futur et mon futur c’est lui
: « Bernard ».


J’ai vu dans tes yeux des larmes, beaucoup de larmes, mais as-tu déjà regardé dans les miens ?
Moi aussi j’ai pleuré, moi aussi  je me suis plus d’une fois, essuyer les yeux, mais personne non personne ne voulait un peu voir, et ce comme une fontaine et durant… si bien que je n’en ai plus une seule à verser de larmes.

Toujours les mots, les phrases de papa qui ne veut ??
Mais est ce LUI ? Où tout simplement TOI ?

Qui, ne peut plus guider ma vie, comme lorsque j’étais enfant ? Guider ma vie lorsque je vivais tout à côté de vous ? Guider ma vie avec mon ex. époux ?  Qui ? Toi.
Maman, tu dois me laisser aller, laisser me chercher, je n e suis plus la petite fille que tu voulais garder auprès de toi
, j’ai « Grandi ».

N’était-il pas temps !!

Depuis, j’ai appris à avoir du courage.

En ce moment je suis fâchée, j’ai mal au cœur, mais rien ne vous empêche de venir, je vous pardonnerai comme toujours, parce que vous êtes les personnes qui m’avez mise au monde.
Parce que… tout simplement…  je vous aime.


Je ne retournerai plus en arrière…

il est temps que je vive !

12 mars 2010

Mon médecin... suite...

Mon médecin, ma conseillée d'aller voir une psychologue, qui elle, m'a dit de m'éloigner de lui un moment, d'aller ailleurs, n'importe où, mais partir. J'ai chercher un moment... l'hôpital ? Un refuge que je m'étais donnée depuis plus de deux ans, lorsque je me sentais mal. Non, je ne voulais plus , ce n'est pas là que l'on aurait su m'aider sinon m'enfoncer encore plus avec tous leurs médicaments. Un seul choix n'avais-je donc, un ami proche avec qui j'avais beaucoup d'affinités car il me comprenait « lui »
Il venait aussi de quitter sa compagne,... pour des causes très dures dont je ne parlerai, çà le regarde.

Je m'en rappelle encore... je voulais vraiment en finir avec ma vie... c'est encore cet ami qui s'est interpellé pour que je me calme, il m'a même secouée brusquement, car ma crise était trop forte.
Le lendemain, je l'ai aidée à emménager, puis m'en suis retournée chez moi. En ouvrant la porte, sur le divan comme à l'habitude , mon mari était là, étalé, il dormait.
Je l'ai secoué pour lui dire que j'étais là, de nouveau il avait trop bu. je n'en pouvais plus, j'en avais trop marre, si bien, que je suis retournée chez mon ami en pleurant, perdue de ne savoir que faire.
Il m'a proposée de dormir chez lui la nuit que le lendemain je verrai plus clair.
Non je n'ai pas dormi avec lui, deux chambres dans cet appartement !!


Au petit matin j'ai repris le chemin de la maison, et lorsque mon mari est revenu de son travail, je lui ai demandé s'il avait remarqué que je n'avais pas dormi à la maison, et il m'a juste dit: ben et alors ! Donc, j'ai compris que je ne comptais pas plus que ça à ses yeux et que ma place n'était plus auprès de lui. Qu'il est dur de s'en rendre compte a 3 mois, des 25 années de mariage !!


Sur ce, le soir, je suis retournée d'où je venais.
Je me suis dis, il va revenir me chercher... et bien non, je me suis trompée sur toute la ligne. Je l'ai attendu durant 8 mois. Pourtant, plus d'une fois, je lui ai demandé ce qu'il pensait, de tous ce qu'il nous arrivait... mais cela avait l'air de l'arranger, il pouvait enfin aller où il voulait, rejouer au jeune homme qu'il était avant, reprendre sa vie avec ses camarades de bistrot.


C'est dégueulasse et pourtant c'est la stricte vérité.
Alors on se demande pourquoi ? Les femmes quittent ainsi leur mari.


Je sais depuis deux ans, c'est moi la fautive, la drôle, ... mais je m'en fou, car « moi seul » sait la vérité qu'était notre couple.
J'ai bien fait de m'en aller et ce malgré les 8 mois de cauchemars et de pleurs, car jamais, non jamais il n'aurait changé pour moi !

Maintenant, depuis, je me refais, j'ai d'autres amies et amis, j'ai des personnes supers gentilles ici dans l'établissement et aux alentours, de plus... j'apprends de nouvelles choses, je visites des musées, je n'ai plus peur de rouler en voiture, de prendre le train, je réapprends des cours de solfège , d'instrument, d'où encore de nouveaux amis, ... je me sens plus sereine, je n'ai plus été un seul jour à l'hôpital, et ce même avec cette maladie dite « orpheline » qui me ronge. J'ai repris confiance en MOI.



J'ai tout simplement envie de vivre,

je suis en soif d'apprendre.




11 mars 2010

Pour "le roi arthur" ...


Dans les premières phrases que tu écris ici bas dans ton commentaire,
la déstabilisation !!


C'est tout à fait ce que je ressens pour l'instant une déstabilisation totale et ce malgré déjà 2 ans de séparation. Déstabilisée, surtout par rapport à la maison, car « mes, nos » !! Souvenirs, seront effacés avec la nouvelle propriétaire.
Dur de se dire "FINI" ? Oui et non.
Ma vie je la reconstruis petit à petit, de nouveaux amis ais-je, grâce à ma force d'avoir changé de groupe musical, là, je m'y sens bien. (je joue du saxophone, je dois l'avoir déjà dit ici )
A l'époque dans la fanfare du village, où j'ai appris à jouer, je m'y sentais bien aussi, j'aimais tout le monde, je dialoguais et m'amusais avec tous.

La répétition « se faisait » toujours dans la salle du bistro du centre, et , mon époux y était chaque vendredi au comptoir, comme à l'habitude. Seulement, cela me m'arrangeais pas, je n'avais pas envie de le voir dans mon petit moment de détente. Je devais penser à autre chose et surtout essayer de comprendre !!
Mais comme il était un bon consommateur, donc vu, les personnes n'ont pas chercher à savoir, et mon directement mise à l'écart. Je l'ai senti dès que j'ai ouvert la porte, tous les regards se sont portés sur moi. Pourquoi ?

Nous ne sommes pas les seuls à être séparés, c'est la grande mode malheureusement en ces dernières années... et combien de couples musiciens se sont dissous bien avant nous.
Mais dans les villages, les langues vont bon-train.
Personne n'a essayé de comprendre, même pas mes parents. Je n'étais plus bien depuis un temps, et je savais « moi »pourquoi.

J'étais tellement mal par moment, et seule, que j'allais chercher le réconfort ailleurs. Des amies, des amis,... qui eux m'écoutaient, me remontaient le moral.
Seulement un jour, suite à des mots « bas » de mon époux, là j'ai commencé à disjoncté, je ne me nourrissais plus, je n'avais plus envie de vivre, d'être. J'ai attenté 4 fois à ma vie et jamais non jamais, il ne s'en est aperçu ?
Bizarre !! J'espérais lui montrer que j'existais, que j'étais là. Je cherchais un peu de tendresse à mon égard de sa part.
J'entends encore dans ma tête cette phrase qui m'a choquée : « je n'ai jamais su te donner de l'amour ce n'est pas maintenant que je t'en donnerai » !!
Choquée, j'en ai été choquée, bouleversée, après tant d'années me dire cela ?

Les personnes qui nous entouraient n'ont jamais rien vu, car à chaque fois que l'on quittait la maison pour aller à une réception, ou autre, ... on se disait toujours « chut », ils ne doivent savoir. On voulait montrer un couple parfais, mais il n'en était RIEN.
J'entends encore les paroles de personnes: quel beau couple ils font.
Et dans ma tête à moi je me disais: s'ils savaient la vérité !!
Mais CHUT tel était notre devise.



Mon médecin,... suite...



3 mars 2010

Demain, finira l'histoire d'une vie...

Dernier rendez-vous chez le notaire ce 4 mars à 17h pour le partage.

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C'est bizarre de devoir dire ce mot « Partage » !!


Nous avons démarré notre vie sans rien, ou si peu.
Je n'avais travailler qu'une année, j'avais juste 19ans et déjà une maison à louer.

A l'époque, heureusement...
Mes parents, chaque mois au moment de ma paye, me mettait sur un compte une somme d'argent. Une petite part étant pour eux qui me logeait et me nourrissaient, le reste pour mes dépenses du mois. « sorties, vêtements, petits bijoux,... ».
La somme que je gagnais à l'époque n'était pas très haute: + ou - 22.000 francs belge par mois.
Sur celle-ci, 10.000 était versé sur un compte épargne, 6000 je donnais aux parents et les 6000 autres, pour mes petits plaisirs.
Du fait qu'après une année, j'ai pu acheter le salon et la chambre à coucher.
Pour ce qui était de mon mari, qui travaillait déjà depuis 4 années, lui, devait donner une plus grosse somme à ses parents et le reste il le dépensait en sortie. Donc aucun livret n'avait-il.

Lorsque nous nous sommes mis ensemble, la convention qui était celle de ma mère, était que mon mari à l'époque paie la salle à manger. Seulement n'ayant pas d'argent sur le côté, le fit, mais tous les mois, on devait payer une somme durant 2 ans. Donc c'est aussi moi qui ai participer à l'achat de cette salle à manger, du fait que nous étions mariés.
Mais à cette époque là, je ne m'en souciais guère.

Le mariage fut payés par mes parents et la confection du « Buffet », fait avec l'aide de leurs amis.
Pas de participation de l'autre côté.

Pour ce qui est des cadeaux de mariage reçus, tantes, oncles, amis, voisins, ont offert de petites choses utilisable de suite, tel-que : grille-pain, gaufrier, tasses, verres, plats, ... Ma marraine m'a offert une batterie de cuisine en inox, mon parrain tout le service de plats en inox. Ma sœur, un service entier pour 12 personnes ainsi que le coffret à couverts, mes frères, toute une série de verre en cristal. Disons que de mon côté nous avions été bien gâtés.
Pour ce qui était de mon mari, là !! malheureusement ce n'était pas pareil. Son frère ainé, devait nous payé une bouilloire ? Oui une simple bouilloire. Seulement nous ne l'avons pas eue, il n'est pas venu au mariage « honteux » !! . Pour ce qui est de ses sœurs, une à offert un aspirateur, l'autre une trancheuse électrique, la dernière... rien.
A cette époque, pas de congélateur, pas de machine à laver, ... juste un petit frigo de réemplois.

120 personnes ont participé à l'apéritif, 60 de ma famille sont restées au banquet, 6 du côté de mon mari. Son papa que j'aimais beaucoup, le meilleur de tous, était décédé juste l'année avant.
Le soir une trentaines d'amis sont venu en plus s'ajouter.


Alors quand on dit ici « partage » !!
C'est dur à entendre ce mot, car tous les deux, nous avons beaucoup travailler, on s'est beaucoup privé et pour en arrivé où ??

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Dur d'exprimer cette FIN entre NOUS DEUX. 

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24 février 2010

J'ai perdu mon "chat"

Et dans toute cette histoire, du déménagement...

... je n'ai malheureusement pas « pu »ni »su »...
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... reprendre notre chat « Louis », je ne pouvais l'installer dans notre appartement. Mon chien « Tommy » quand à lui, y est déjà depuis 18 mois.
Deux braves petites bêtes que j'avais rapportées à la maison pour mes enfants voilà bientôt 12 ans. Ensembles, ils ont grandis, joués, mangés,...
C'étaient de bons copains, les voilà séparés.

Il y avait tant d'amour entre eux !

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Dommage qu'il n'en est pas pareil avec les êtres humains !!
Malgré tout l'amour que j'ai pour lui, je n'avais le droit de le prendre ici, il n'est plus tout jeune, la litière il ne connait plus et un jardin je n'ai plus.

Beaucoup de tracas pour savoir ce qu'on allait en faire ?
Maman habitant à côté, n'en a pas voulu, alors qu'il l'aimait beaucoup. Parce qu'à chaque fois que nous partions pour quelques jours, elle venait le nourrir, le cajoler. De plus chaque jour maman passait par la maison. Louis avait l'habitude n'avait pas peur d'elle.

Depuis deux ans que je n'y habite plus, j'allais régulièrement le voir avec Tommy. Chaque fois que j'en criais son nom, il s'amenait, ronronnait, ne m'oubliait. Mais...

Je suis triste, car je ne le verrai plus jamais... jamais ! Et pour cause...

Ma maman, comme à l'habitude à insister auprès de Gérard (mon ex.) pour qu'il le reprenne avec lui, dans la maison de sa compagne. Mais ?

Bien sûr qu'elle a accepter, car ma maman sait comment s'y prendre et de plus que ne ferait pas Murielle pour plaire à « ma mère » !!
Grrr... Oui j'en rage.
Ce n'est ni son fils, et encore moins sa belle fille.

Brefff... lors du départ de Louis,
j'ai tout simplement dit à Gérard si je pouvais aller de temps en temps le voir sur le pas de la porte et .... m'a répondu..., « t'a pas intérêt à venir devant la porte ». Oups !
Je ne le savait pas si méchant et dire que j'ai vécu avec lui autant d'années sans m'en rendre compte ?
Il n'était pas vraiment ainsi... c'est depuis qu'elle le mène.chatons
Cette maison n'est qu'à 500 mètres de notre appartement.

Sur ce... fini... je ne le verrai plus.



Peut-être que certain diront ce n'est qu'une bête... mais pour moi ce chat était comme une personne , il comprenait tout ce que je lui disait, il était d'une gentillesse, ne sortait jamais bien loin. Nous avons eux d'autres chats, mais celui-ci est le seul que nous avons su garder, sans qu'il ne se fasse écraser, empoisonner.

J'espère juste pour toi « Louis » qu'elle ne te mènera pas la vie dure ?

Sa place est dans un fauteuil, il n'a jamais passer une nuit dehors. Lorsque la nuit tombante, je le rappelait, il revenait heureux de ne l'avoir oublier. J'entends encore ses ronronnements, lorsqu'à côté de moi il dormait les nuits froides d'hivers.

ADIEU LOUIS ....

Jamais, non Jamais... je ne t'oublierai.

17 février 2010

Mon papa est revenu...

... de l'hôpital vendredi après-midi.

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Durant 5 jours de long, sa fièvre n'est descendue ?
Toute la famille s'inquiétait beaucoup de cette fièvre encore si haute et ce malgré les antibiotiques.
Le médecin qui le soigne là-bas, a demandé une série d'examens supplémentaires, pour enfin trouvé qu'il avait une « infection pulmonaire » sur ce, un autre antibiotique lui fut administré et dès le lendemain, la fièvre fut tombée. baxter292407


Un grand OUF de soulagement pour tous.










Il est resté du vendredi au vendredi suivant, mais est enfin de retours ici près de nous.
Là-bas étant en chambre stérile, nous ne pouvions aller le voir.

Je l'ai aperçu ce soir là quelques secondes, le temps pour lui de faire un petit coucou, ensuite il s'en est retourné se mettre au fauteuil.
Déjà deux semaines entière depuis mi janvier « lui », qui n'a jamais été malade, hors-mis de petites infections comme tous: rhum, état grippal, sans plus.

Lundi, passant par le village, je me suis rendue chez mes parents pour voir son évolution.

Le docteur était présente !!
Quoi il doit encore retourné à l'hôpital ?
Mais non.


Papa ayant les pieds gonflés, la panique s'est installée et maman l'a appelée en urgence. Elle l'a ausculté, pour elle pas d'inquiétude, le cœur très bon, plus de fièvre, ce ne peut-être qu'une allergie à l'antibiotique oral qu'on lui avait donné. D'où abandon de ce médicament.
J'ai vu dans les yeux de ma mère des larmes, elle a eu peur et je la comprend.
Pour la soulager, je me suis proposée d' aller à la pharmacie... elle pouvait ainsi rester auprès de lui.
Deux jours à dit le médecin et tout rentrera dans l'ordre.

Là... j'ai pu voir mon père de plus près, et... mon regard est resté figé sur sa triste mine, non, il n'a pas l'air d'aller bien, il a perdu plus de 5 kg !!
Je reste septique, je commence à avoir des doutes sur son état de santé.

En ce jour...
j'ai peur pour lui, j'ai peur surtout de le perdre.




Je viens de sonner à l'instant,
... ses pieds sont toujours dans le même état !!

9 février 2010

Une drôle de semaine !!

Une histoire se finira demain... 1785924230_3

et ce pour toujours.

Je pourrai enfin tourner la page.

La page: d'une vie bien remplie, d'une mission accomplie.

« Nous avons été mariés durant 25 années dans un endroit choisi, pour y vivre et élever nos enfants.
Des tas de travaux avons nous fait. Nous avons eu des soucis d'argent, mais nous nous en sommes toujours sortit (je dois dire que j'avais des astuces ).
Nous avons fait notre possible: nos enfants sont bien éduqués, ils ont eu tous ce qui était en notre pouvoir de donner. On les a aidés, lorsqu'ils étaient malades, dans leurs études, dans leur quotidiens,... une belle enfance ont-ils eu , des tas d'amis sont venus dormir, s'amuser dans cette demeure... des fêtes avons nous faites et plus d'une... , baptêmes, communions, anniversaires,... jamais personne de la famille ne fut oubliés. (Ils n'y avait que nous qui faisions tous cela, il était très rare ailleurs d'être invités, de mon côté oui parfois, de l'autre jamais! )mais tous ce que nous avons fait, nous l'avons fait de bon cœur, parce que nous aimions recevoir.
Il y a 8 ans maintenant, je voulais quitter le village pour aller vivre ailleurs... prendre l'air. Pensez-vous, autant d'années à la même place, c'était trop ! (Mon enfance je l'avais passer dans la maison à côté: mes parents) Seulement, mon époux ne le voulait ? J'avais beau insister ? Rien à faire. Pourtant, pleins de travaux restaient encore à faire !! Et pas d'argent pour !
Alors, moi comme une « conne », je me suis mise à la recherche du comment faire, pour pouvoir améliorer notre confort. J'ai trouvé, et sans dépenser un euro, nous avons effectuer de gros travaux: toiture, cours extérieure, châssis, carrelages, ... et pourquoi ? Oui je suis une « conne », car si je n'avais pas trouvé cette solution, nous aurions été obligé de partir... et peut-être, serions nous encore ensemble ??
Cela, personne ne peut le dire se sont les aléas de la vie. »


Demain, nous rendrons devant notaire les clés de cet endroit.
Ce jour, tout le monde était réunis, fille, fils, ex;mari et moi même.
Je crois que avons tous, ressenti comme une douleur dans la poitrine, la vie à quatre s'est terminée.
Chacun à prit sa route, sa vie en main.

Tourner la page !!

Nous avons eu de bons, de mauvais moments, comme tous couples je pense. Nous ne devons oubliés ces moments vécus. Nous devons les laissé ancré dans notre tête.

Seulement dans la vie, il y a des gens qui bougent, qui réfléchissent, qui évoluent et veulent aller plus loin, voir le monde, voir ce qu'ils les entourent.
D'autres par contre, restent sédentaires, restent à mener leur vie toujours dans le même sens, non plus de but. Et traîne sans goût, sans aucun autre désirs dans leur vie, que le « boulot, dodo ».

Et puis à force des choses, l'un craque, demande du changement, l'autre ne veut et... tout se détruit.
D'où plus personnes ne comprends ce qu'il arrive ?


Ainsi s'enchaînent dans l'époque actuelle:

Divorces sur Divorces.


8 février 2010

je suis très inquiète pour mon Papa


Suite à sa chimio il y a un mois...


Jeudi, du matin, il ne se sentait pas très en forme, et faisait un peu de température : 38°
Il est resté au fauteuil toute la journée.
La veille, il avait fait sa prise de sang, recommandée par le spécialiste, avait eu les résultats le jour même, ses plaquettes remontaient, et pour le docteur, papa ne devait le revoir que dans deux semaines .
Malheureusement,vendredi matin après une nuit très longue, ce qui n'est pas le genre de mon papa... sa température avait grimper au-dessus des 39°. Il était 8h 30.
De ce fait, maman a directement téléphoner au centre d'oncologie à Baudour, qui lui a dit, qu'il devait se présenter aux urgences sans attendre.

Depuis,
il est hospitalisé dans une chambre seul, pour éviter tout contact.
Il est tellement affaibli, qu'il ne sait se laver seul... il ne mange pas... il ne sort de son lit... on ne peut aller le voir pour l'instant, sa t° ne baisse, il doit éviter tout virus extérieurs.

J'ai très « peur »pour lui, car il n'a jamais rien eu , je ne l'ai jamais vu rentrer à l'hôpital pour quoi que se soit .
On lui a remit de nouveau deux pochettes de sang ?
Je n'aime pas le savoir dans cet état, lui toujours pleins d'énergie, j'ai extrêmement peur qu'il se laisse aller et n'ai la force de surmonter cette épreuve qu'est : la maladie.

                                                                        bougie


Je suis entrée dans une chapelle,
je lui ai mis un cierge,
j'ai demandé l'aide:
à la « Sainte Vierge Marie »,
qu'il vénère.








Papa... ne te laisse pas aller, il faut que tu luttes contre ce mal, que tu sortes de cet hôpital.

Papa... je t'attends avec impatience.
Papa... courage, je t'aime.


6 février 2010

Pas de répit ais-je eu !!

Des boites et des boites... à n'en plus finir.

Heureusement que j'ai eu l'aide d'une dame ici à côté, pour ne pas devoir transporter et ne pas devoir "Tout" jeter.

Elle a une force d'homme.

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... et les miennes.

Celles que je voulais garder, car j'ai des souvenirs, que je désirais tenir, notamment :
ceux de mes enfants.

Pour ce qui est du reste, j'ai préféré qu'elle les donne à des personnes dans le besoin, dont elle connaissait.

Pensez-vous 13 mètres de grenier, ce n'est pas mince affaire.

Tout ce qui était meubles,electro ménager, vaisselles et autres,... c'est ma fille et mon fils qui se les sont partagés.

Mon fils dont j'avais si peur, est très bien installé et de plus se plait.
C'est chouette pour lui, j'en suis heureuse.
Ma fille plus âgée était partie s'installer en mai dernier. seulement, elle, n'est pas seule !!

Le reste c'est mon ex. mari qui se charge de jeter où donner ??


Je ne devais  m'occuper de rien sinon... de reprendre ce qui m'étais dû !!

Seulement j'ai fait une grosse moitié et ce grâce :

... a cette dame.

Merci Graziella de ton aide et de ta gentillesse.

Pourquoi ?

" Tout simplement parce que ma santé,
   
            ne me le permets plus "

Pour le 10 du mois tout doit être vide.


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