J’arrive à oublié ! ( 2ième semaine)
Lundi 9 j’ai ma filleule Lyndsay qui est venue passer deux jours.
Après s’être levée, lavée, … nous nous sommes rendues dans divers magasins pour quelques emplettes nécessaires.
Mardi, j’ai reconduit ma filleule chez sa mamy « ma maman », là j’y suis restée deux heures. La Psy
Et Blablabli et Blablabla… si bien que j’ai failli louper mon rendez vous chez la psy.
Oh il ne faut pas croire que c’est pour l’argent ! Du tout !
Elle me fait payé un minimum de 5 euros, c’est une aide obligatoire suite a mes envies suicidaires, qui maintenant s’estompent.
Le soir première répétition de musique après la pause de fin d’année.
Mercredi, je me suis rendue sue le lieu du travail de Bernard, j’y vais quelques fois, surtout lorsque je dois aller me coiffer. Ce que j’ai fait, il était temps !
C’est très pratique, celle-ci se trouve juste à côté, j’arrive et elle me prend de suite, l’avantage de ne pas attendre, car je n’aime pas aller perdre mon temps chez un coiffeur.
Bizarre pour une femme et pourtant !
Jeudi, je me suis laissée aller à vivre ici, en tapotant sur mon clavier, tout en faisant un peu de ménage.
Vendredi, veille de st-Valentin, comme chaque être qui « aime » … de petites surprises suis allée quérir pour mon Valentin. Le soir à son retour, nous nous sommes rendus sur le champ de foire ici derrière sur la grande place.
Là en toute tranquillité non pas dehors devant un marchant de frites ou de beignets !! Mais bien au chaud dans un snack nous avons pris un petit menu. (Brrr,Brrr… il faisait un froid de canard !)
Samedi… Aaaaah samedi le 14 février!! Héhé!! Devinez?
A l’aise, à l’aise … en pyjama… Hum !!
Nous sommes resté tranquille ici bien au chaud blotti l’un contre l’autre, et avec en prime non pas un « resto du soir », mais une journée de bonne saveurs préparées en surprise par mes soins.
Pourquoi ? Parce que j’en ai ra le bol d’aller manger ailleurs, surtout que :
Dimanche on était invité au restaurant pour les 80 ans du papa de Bernard.
Ce fut encore une semaine rempli de bonheur.
J’en oublie ma souffrance.