Je m’étais dis une moitié de parcours ??
Je me suis laissée emportée, et sereinement j’ai continué ma route et ce… jusqu’à la fin !
Chose que je n’aurais pas du faire !
Car le surlendemain, non seulement ma tante est venue de Bruxelles pour signé un contrat pour une maison sociale… je suis allée chez ma mère qui nous attendait pour un petit dîner que papa avait préparé… ensuite je suis passée chercher mon chien…puis voir son autre sœur ma tante Gisèle qui l’attendait.
De là, remettre ma tante Eliane sur le train pour son retour.
Ce ne fut pas une journée de repos même si elle s’est très bien déroulée.
Je suis seul chauffeur !!
Et le lendemain, ce qu’il devait arriver…arriva.
Je me suis retrouvée coincée, douleur dans les jambes, dans le bas dos, je ne savais presque plus marcher. J’ai été obligée d’aller chercher une béquille pour me soutenir.
Et bien sûr pas de kiné ! Elle ne revient que le 4 mars.
Je suis donc restée allongée le plus possible, mes larmes coulaient, ma figure était démontée.
Voilà à quoi j’en suis tenue pour le restant de ma vie, à ne plus pouvoir faire le moindre effort, le moindre pas de côté sans souffrir.
Du jeudi, je suis allée de toute urgence revoir mon médecin à Grammont, mais pour la première fois, même ma voiture n’ai-je su prendre !!
Heureusement que la gare est ici en face !
Alors avec l’aide de Bernard, je me suis rendue à l’hopital qui lui aussi se situe près d’une gare.
20’ de trajet … c’est peu.
Quand je me rends compte qu’en voiture, il me faut 35’ ?... car le long de la route, il y a des camions, tracteurs, feux-rouge, et le temps de trouver à se garer ??
Maintenant que je connais ce trajet de train, il m’est beaucoup plus agréable et facile… plus de douleurs en poussant sur les pédales et mon retours est plus reposant.
Car lorsque je me retrouve face à mon médecin, à chaque fois j’ai droit à avoir entre 4 et 6 piqûres, et croyez moi c’est à peine si je vois encore clair. Je dois toujours avoir un laps de temps pour m’en remettre.
Ici ce jour, je suis passée du lit au fauteuil, je souffre en silence, le temps que face effet les piqûres.
Ainsi s’achèvera mon mois de février en : DOULEURS .