Fatiguée, ma santé de nouveau me refait défaut.

Je ne me sens réellement pas bien.

Je retombe dans la déchéance.

J’ai tout mon corps qui brûle, l’estomac, l’œsophage, douleur vertébrale, tiraillements, pointe au cœur.

Combien de temps pourrais-je encore tenir ?

Des pieds à la tête je suis mordue de douleurs qui fusent jusqu’au plus profond de mes entrailles.

Que faire !

Que faire !

Que faire… sinon taire mes maux qui me déplaisent.

Pliée, tordue de douleurs.

De la compréhension de ma mère je n’en ai, quand à mon père « lui » ne dit mots.

Lorsque que la semaine passée, je lui ai dit que ma santé n’étais pas très bonne en ce moment, que je ne savais ce qu’il m’attendait encore, suite à ma prise de sang chamboulée, elle a juste su me rétorqué :

«  Plus on va dans les médecins plus on est malade » Sans plus !

Drôle de réconfort d’une maman. Ce que j’attends d’elle, comme je l’ai toujours attendu depuis ces dernières années, c’est un peu d’aide morale de compréhension de sa part.

J’en pleure car moi même maman je m’en fais toujours pour les miens, et puis s’il arrivait à ma mère d’être malade … croyez-moi je serais auprès d’elle et ce quoi qu’elle ai pu me faire !

Car moi « j’AIME » les miens.